Montagnes
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Zenitta tazieff vivier
N°367






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Zenitta tazieff vivier
N°367

Zenitta Klupta Tazieff
ou Tazieff - Vivier
Artiste peintre, chimiste et docteur en sciences politiques
Nee a Dvinsk Pologne 1887 - 1984
ou Tazieff - Vivier
Artiste peintre, chimiste et docteur en sciences politiques
Nee a Dvinsk Pologne 1887 - 1984
d origine « hispanoslaves », son aïeule maternelle étant une princesse espagnole
Mere du celebre Vulcanologue Haroun Tazieff fut une peintre de montagne français.
Epouse en seconde noce de Robert Vivier ne en 1894 mort en 1989 ne a
Chenee pres de Liege d un pere d’un père ingénieur d’origine
bourguignonne, et d’une mère liégeoise. Proche de
Wladimir Jankélévitch, Pierre Bichet, Gaston Rebuffat, Georges et
Pierre Tairraz, Emille Decoeur Elle a peint de très nombreuses toiles
représentant des paysages de montagne et de haute montagne des grands
massifs alpins, massif du Mont-Blanc et massif des Écrins
principalement. Sa palette est caractéristique et traite tout particulièrement les effets lumiere sur la neige ou les glaciers. Quelques toiles circulent, son oeuvre semble peu importante probablement quelques centaines d oeuvres ?Tres delicate aquarelle representant:

« Paysage de montagne savoyarde situee dans la vallee de Chamonix »
Avec la silhouette des cimes
Vue de La Grave la Meije ( 3828 m.), vue de l'église des terrasses (Saint Mathieu)
et abreuvoir au premier plan
Zenitta accompagna tres frequemment son fils Haroun alpiniste chevronne
et tres proche de la famille Tairraz George et Pierre
Tres jolie aquarelle et gouache sur papier blanc epais
Format du support 35,5 / 26 cm.
Signature dans le coin gauche
Datation probable entre 1925 et 1938.
La provenance de cette oeuvre est la dispersion
de la succession d Haroun Tazieff faite a Romand il y a quelques annees.
Bon etat de conservation. Assez frais petite trace de papier adhesif tres localisee
au centre sur le bord superieur
Avec la silhouette des cimes
Vue de La Grave la Meije ( 3828 m.), vue de l'église des terrasses (Saint Mathieu)
et abreuvoir au premier plan
Zenitta accompagna tres frequemment son fils Haroun alpiniste chevronne
et tres proche de la famille Tairraz George et Pierre
Tres jolie aquarelle et gouache sur papier blanc epais
Format du support 35,5 / 26 cm.
Signature dans le coin gauche
Datation probable entre 1925 et 1938.
La provenance de cette oeuvre est la dispersion
de la succession d Haroun Tazieff faite a Romand il y a quelques annees.
Bon etat de conservation. Assez frais petite trace de papier adhesif tres localisee
au centre sur le bord superieur



Compilation biographique succincte du clan Tazieff Vivier:
Zenitta Tazieff ou Tazief Vivier
nee Klupta (La mère d'Haroun Tazieff, Zénitta Klupta (1886-1984), née à Dvinsk d'un père médecin juif, Illias Klupt, et d'une mère chrétienne orthodoxe, Sophie Arianoff, fille du gouverneur de la forteresse de Dvinsk, Sawa Philipovitch von Arian, dont les enfants prirent le nom d'Arianoff. Zénitta Illiassovna Tazieva était docteur en sciences naturelles et chimie et licenciée en sciences politiques de l'Université Libre de Bruxelles. C'est à Bruxelles que les jeunes étudiants russes Zénitta et Sabir se sont connus. ((Son père, Sabir, était un Tatar musulman de la famille des princes Dachkine, né en 1885 à Yangi-Yer1 ou Tachkent selon les sources. Le patronyme de Sabir Tazieff, est la russification du prénom de son père, Tadji, l'un des princes Dachkine. Sabir Tazieff était docteur en médecine, officier médecin dans le corps dit "étranger" qui allait devenir la célèbre « Division sauvage » du tsar sous le commandement du général Kornilov. Sabir a été tué sur le front aux premiers jours de la guerre de 14-18.)) Ils s'y sont mariés en 1906. Ils ont eu un premier enfant, Salvator, qui n'a vécu que deux mois. C'est en 1913 qu'ils sont rentrés en Russie. Zénitta n'a appris la mort de son mari qu'en 1919.)
Artiste peintre, chimiste et docteur en sciences politiques
Princesse Georgienne d origine « hispanoslaves », son aïeule maternelle étant une princesse Espagnole.
Epouse Un Russe Tatar d origine Armenienne médecin venait du Turkestan, entre Tachkent et Samarkand, docteur en medecine ne a Yangi-Yer qui disparaitra sur le front russe devant la frontiere Turque au debut de la premiere guerre mondiale, son corps ne sera jamais retrouve.
Il était officier dans la « Division Sauvage », composée de montagnards caucasiens et asiatiques, celle-là même que Kornilov fit donner contre le peuple insurgé en aoüt 17 et qui posèrent l’arme au pied pour sympathiser avec les révolutionnaires. Mais un site internet russe , « Pobieditieli » (« les Vainqueurs »), qui recense tous les Russes morts pour la Patrie, le déclare mort au combat en janvier 14. Où ? Mystère. Erreur du site? Quels combats pouvait-il y avoir début 14 ? Contre le Japon, contre la Turquie ? Zénitta n’a appris la mort de son mari que beaucoup plus tard, après la guerre..
On les retrouve en Belgique, où il fera ses études. Il se fit alors deux camarades de son âge : Betty Limbosch et Jean Lavachery, qui fut le père légal de Frédéric. Confidences de celui-ci, ayant retrouvé les correspondances de Zenitta, il est maintenant certain qu’elle arriva à Bruxelles en mission pour Moscou. Était-elle chargée de surveiller les agissements des russes blancs exilés - dont ses cousins germains, au service du général Wrangel – qui rêvaient de mettre sur pied une armée pour retourner en Russie renverser le gouvernement communiste. Plus tard, pendant l’occupation allemande elle fut chargée de différentes missions, telles l’exfiltration vers les maquis, via la maison de Betty, de soldats soviétiques évadés des mines de charbon belges, filière d’évasion organisée par les mêmes russes blancs, qui faisaient tourner les mines pour les allemands mais ne supportaient pas la condition faite à leurs compatriotes, fussent-ils rouges.
La région de Bruxelles où ils ont vecu (Boistfort) a été le genre de "Montmartre" de Bruxelles dans les Années 1920 et 1930. Son beau-père, Robert Vivier, a été un écrivain célèbre poète et en Belgique et sa mère, Zenita Tazieff, une pharmacienne, militante communiste et artiste-peintre. Ils ont régulièrement des rencontres avec d'autres grands artistes, de scientifiques et d'inventeurs qui vivaient dans le quartier .
Haroun Tazieff né à Varsovie en 1914, alors partie de la Russie tsariste, d'un père tatar, né à Yangi-Yer, docteur en médecine, et d'une mère russe, née à Dvinsk qui était chimiste et docteur en sciences politiques. Son père mourut au front dès le début de la Première Guerre mondiale. Avec sa mère, il émigra en Belgique à la fin de 1925 où il résida quelque temps en apatride, avant de partir en France à la fin des années 1927, puis de revenir en Belgique en 1929 et d'y recevoir la nationalité belge en 1936.
Étudiant, boxeur (champion de Belgique universitaire, puis champion du Katanga, résistant, compagnon de Cousteau sur la Calypso, spéléologue et volcanologue, Haroun Tazieff a suivi des études en Russie et en Belgique. Il fut diplômé Ingénieur agronome de la Faculté des Sciences Agronomiques de Gembloux en 1938, soldat, résistant et diplômé ingénieur géologue de l'Université de Liège en 1944.
Il est enterré au cimetière de Passy à Paris.
Zenitta rencontre a Paris l ecrivain Poete Belge Robert Vivier ne en 1894 mort en 1989
ne a Chenee pres de Liege d un pere d’un père ingénieur d’origine bourguignonne, et d’une mère liégeoise.
Élève de l’Athénée royal de Liège, où il se lie durablement d’amitié avec un jeune homme qui deviendra une autre personnalité des Lettres belges, Marcel Thiry, il entre ensuite à l’Université de Liège, à la Faculté de Philosophie et Lettres.
Survient la guerre de 1914-1918. Vivier s’enfuit de Belgique, gagne la France et s’engage dans l’armée belge. Cette expérience tragique, il la fait en restant simple soldat, comme le rappelle le titre de son recueil de récits Avec les hommes. Elle le marque profondément, mais ne transparaît guère que dans ses œuvres en prose.
Ses études reprises et terminées, Robert Vivier entre dans l’enseignement secondaire, puis supérieur : il est appelé à l’Université de Liège en 1929. Auparavant, lors d’un séjour d’études à Paris, il avait rencontré puis épousé Zénitta Tazieff, la mère du futur vulcanologue Haroun Tazieff.
Entré à l’Académie de Langue et de Littérature Françaises de Belgique en 1950 – il occupe le fauteuil de Maurice Maeterlinck –, il poursuit par ailleurs son enseignement universitaire jusqu’en 1964. À ce moment, il est invité par la Sorbonne pour y faire un cours consacré à la littérature française de Belgique (1964-1967).
Fixé dans la région parisienne, Robert Vivier y est décédé, avec la discrétion qui a marqué toute sa vie, en 1989
Zenitta Tazieff ou Tazief Vivier
nee Klupta (La mère d'Haroun Tazieff, Zénitta Klupta (1886-1984), née à Dvinsk d'un père médecin juif, Illias Klupt, et d'une mère chrétienne orthodoxe, Sophie Arianoff, fille du gouverneur de la forteresse de Dvinsk, Sawa Philipovitch von Arian, dont les enfants prirent le nom d'Arianoff. Zénitta Illiassovna Tazieva était docteur en sciences naturelles et chimie et licenciée en sciences politiques de l'Université Libre de Bruxelles. C'est à Bruxelles que les jeunes étudiants russes Zénitta et Sabir se sont connus. ((Son père, Sabir, était un Tatar musulman de la famille des princes Dachkine, né en 1885 à Yangi-Yer1 ou Tachkent selon les sources. Le patronyme de Sabir Tazieff, est la russification du prénom de son père, Tadji, l'un des princes Dachkine. Sabir Tazieff était docteur en médecine, officier médecin dans le corps dit "étranger" qui allait devenir la célèbre « Division sauvage » du tsar sous le commandement du général Kornilov. Sabir a été tué sur le front aux premiers jours de la guerre de 14-18.)) Ils s'y sont mariés en 1906. Ils ont eu un premier enfant, Salvator, qui n'a vécu que deux mois. C'est en 1913 qu'ils sont rentrés en Russie. Zénitta n'a appris la mort de son mari qu'en 1919.)
Artiste peintre, chimiste et docteur en sciences politiques
Princesse Georgienne d origine « hispanoslaves », son aïeule maternelle étant une princesse Espagnole.
Epouse Un Russe Tatar d origine Armenienne médecin venait du Turkestan, entre Tachkent et Samarkand, docteur en medecine ne a Yangi-Yer qui disparaitra sur le front russe devant la frontiere Turque au debut de la premiere guerre mondiale, son corps ne sera jamais retrouve.
Il était officier dans la « Division Sauvage », composée de montagnards caucasiens et asiatiques, celle-là même que Kornilov fit donner contre le peuple insurgé en aoüt 17 et qui posèrent l’arme au pied pour sympathiser avec les révolutionnaires. Mais un site internet russe , « Pobieditieli » (« les Vainqueurs »), qui recense tous les Russes morts pour la Patrie, le déclare mort au combat en janvier 14. Où ? Mystère. Erreur du site? Quels combats pouvait-il y avoir début 14 ? Contre le Japon, contre la Turquie ? Zénitta n’a appris la mort de son mari que beaucoup plus tard, après la guerre..
On les retrouve en Belgique, où il fera ses études. Il se fit alors deux camarades de son âge : Betty Limbosch et Jean Lavachery, qui fut le père légal de Frédéric. Confidences de celui-ci, ayant retrouvé les correspondances de Zenitta, il est maintenant certain qu’elle arriva à Bruxelles en mission pour Moscou. Était-elle chargée de surveiller les agissements des russes blancs exilés - dont ses cousins germains, au service du général Wrangel – qui rêvaient de mettre sur pied une armée pour retourner en Russie renverser le gouvernement communiste. Plus tard, pendant l’occupation allemande elle fut chargée de différentes missions, telles l’exfiltration vers les maquis, via la maison de Betty, de soldats soviétiques évadés des mines de charbon belges, filière d’évasion organisée par les mêmes russes blancs, qui faisaient tourner les mines pour les allemands mais ne supportaient pas la condition faite à leurs compatriotes, fussent-ils rouges.
La région de Bruxelles où ils ont vecu (Boistfort) a été le genre de "Montmartre" de Bruxelles dans les Années 1920 et 1930. Son beau-père, Robert Vivier, a été un écrivain célèbre poète et en Belgique et sa mère, Zenita Tazieff, une pharmacienne, militante communiste et artiste-peintre. Ils ont régulièrement des rencontres avec d'autres grands artistes, de scientifiques et d'inventeurs qui vivaient dans le quartier .
Haroun Tazieff né à Varsovie en 1914, alors partie de la Russie tsariste, d'un père tatar, né à Yangi-Yer, docteur en médecine, et d'une mère russe, née à Dvinsk qui était chimiste et docteur en sciences politiques. Son père mourut au front dès le début de la Première Guerre mondiale. Avec sa mère, il émigra en Belgique à la fin de 1925 où il résida quelque temps en apatride, avant de partir en France à la fin des années 1927, puis de revenir en Belgique en 1929 et d'y recevoir la nationalité belge en 1936.
Étudiant, boxeur (champion de Belgique universitaire, puis champion du Katanga, résistant, compagnon de Cousteau sur la Calypso, spéléologue et volcanologue, Haroun Tazieff a suivi des études en Russie et en Belgique. Il fut diplômé Ingénieur agronome de la Faculté des Sciences Agronomiques de Gembloux en 1938, soldat, résistant et diplômé ingénieur géologue de l'Université de Liège en 1944.
Il est enterré au cimetière de Passy à Paris.
Zenitta rencontre a Paris l ecrivain Poete Belge Robert Vivier ne en 1894 mort en 1989
ne a Chenee pres de Liege d un pere d’un père ingénieur d’origine bourguignonne, et d’une mère liégeoise.
Élève de l’Athénée royal de Liège, où il se lie durablement d’amitié avec un jeune homme qui deviendra une autre personnalité des Lettres belges, Marcel Thiry, il entre ensuite à l’Université de Liège, à la Faculté de Philosophie et Lettres.
Survient la guerre de 1914-1918. Vivier s’enfuit de Belgique, gagne la France et s’engage dans l’armée belge. Cette expérience tragique, il la fait en restant simple soldat, comme le rappelle le titre de son recueil de récits Avec les hommes. Elle le marque profondément, mais ne transparaît guère que dans ses œuvres en prose.
Ses études reprises et terminées, Robert Vivier entre dans l’enseignement secondaire, puis supérieur : il est appelé à l’Université de Liège en 1929. Auparavant, lors d’un séjour d’études à Paris, il avait rencontré puis épousé Zénitta Tazieff, la mère du futur vulcanologue Haroun Tazieff.
Entré à l’Académie de Langue et de Littérature Françaises de Belgique en 1950 – il occupe le fauteuil de Maurice Maeterlinck –, il poursuit par ailleurs son enseignement universitaire jusqu’en 1964. À ce moment, il est invité par la Sorbonne pour y faire un cours consacré à la littérature française de Belgique (1964-1967).
Fixé dans la région parisienne, Robert Vivier y est décédé, avec la discrétion qui a marqué toute sa vie, en 1989