Nus erotisme
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Charles roussel
N°2886


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Charles roussel
N°2886

Charles Roussel
Peintre dessinateur graveur illustrateur publicitaire francais
Meaux 7 oct 1882 - 24 juin 1961 Paris
Peintre et dessinateur français
ami d Albert Lepreux autre artiste Meldois
Fils d'un libraire et élève de Gérôme aux Beaux Arts de Paris.
II a exposé au Salon des Humoristes en 1929, a collaboré à diverses revues
humoristiques ou surrealistes et Dada.
Tres beau dessin representant:

Dessin a la pierre noire
Format 27 / 21,5 cm
sur papier blanc uni
signature
dans le coin inferieur droit par l artiste.
Bon etat de conservation.
Leger empoussierage

Parmi la multitude des jeux érotiques auxquels s’adonne l’humanité depuis qu’elle en a l’occasion, la fessée a une place à part, un rang privilégié, une aura particulière qui lui confère l’indulgence des moins aventureux et la reconnaissance des explorateurs érotiques. Son caractère gentiment méchant, à peine douloureux, tout juste punissant, un tantinet coquin, un chouïa transgressif suscite une forme d’affection et de tendresse.
Les joies de la Fessée Coquine
La fessée est en quelque sorte la petite chouchoute des jeux coquins, celle qui en tente plus d’un et d’une, parce qu’elle mêle subtilement violence et douceur et parce qu’elle se pare d’une évidente pointe d’humour. Voici pourquoi et comment mettre la fessée au goût du jour dans votre couple d’aventuriers coquins !
Qu’est-ce qu’une fessée érotique ?
Il s’agit d’un jeu entre deux partenaires qui consiste pour l’un à molester le postérieur de l’autre et durant lequel chacun trouve émoustillement et plaisir. L’excitation sexuelle se retrouve à différents niveaux :
La soumission et la punition
Elles sont au cœur des jeux BDSM car elles jouent à la fois sur le rapport de domination et sur la pratique sadomasochiste. La fessée est l’exemple parfait à la fois dans le rapport de soumission indéniable du fessé, mais également parce qu’elle représente la punition par excellence !
Le scénario
En cherchant à justifier cette réprimande, le couple élabore des histoires qui expliquent cette fessée. La servante qui n’a pas bien servi, l’étudiant qui n’a pas bien appris…
Le contact physique
Les fesses étant une zone érogène de premier choix, celui qui reçoit la punition savoure ces caresses appuyées tandis que le partenaire qui inflige la correction entre en contact direct avec cette tendre zone sexuelle. De plus, dans la position classique de la fessée qui consiste le plus souvent à allonger le corrigé sur le correcteur, il est possible de laisser aller la main qui ne frappe pas vers d’autres contrées anatomiques…
L’ambigüité
Dans l’enfance, la fessée n’a aucun caractère de plaisir et est synonyme de punition désagréable. A l’âge adulte, une main qui entre en contact avec des fesses devient au contraire une forme de plaisir érotique. La fessée adulte joue donc sur l’ambigüité de cette frontière.
Une véritable communauté
Le terme de « spanker » qui signie « fesseur » en anglais est souvent retrouvé pour désigner les personnes qui pratiquent cette discipline. Les anglophones disposent de moult sites internet et livres sur le sujet et il existe plusieurs communautés d’adeptes.
Peintre dessinateur graveur illustrateur publicitaire francais
Meaux 7 oct 1882 - 24 juin 1961 Paris
Peintre et dessinateur français
ami d Albert Lepreux autre artiste Meldois
Fils d'un libraire et élève de Gérôme aux Beaux Arts de Paris.
II a exposé au Salon des Humoristes en 1929, a collaboré à diverses revues
humoristiques ou surrealistes et Dada.
Tres beau dessin representant:

« Esquisse erotique - le plaisir de la fessee ? . »
La fessée, c'est cette pratique qui consiste à gifler le gras du bouli !Dessin a la pierre noire
Format 27 / 21,5 cm
sur papier blanc uni
signature
dans le coin inferieur droit par l artiste.
Bon etat de conservation.
Leger empoussierage

Parmi la multitude des jeux érotiques auxquels s’adonne l’humanité depuis qu’elle en a l’occasion, la fessée a une place à part, un rang privilégié, une aura particulière qui lui confère l’indulgence des moins aventureux et la reconnaissance des explorateurs érotiques. Son caractère gentiment méchant, à peine douloureux, tout juste punissant, un tantinet coquin, un chouïa transgressif suscite une forme d’affection et de tendresse.
Les joies de la Fessée Coquine
La fessée est en quelque sorte la petite chouchoute des jeux coquins, celle qui en tente plus d’un et d’une, parce qu’elle mêle subtilement violence et douceur et parce qu’elle se pare d’une évidente pointe d’humour. Voici pourquoi et comment mettre la fessée au goût du jour dans votre couple d’aventuriers coquins !
Qu’est-ce qu’une fessée érotique ?
Il s’agit d’un jeu entre deux partenaires qui consiste pour l’un à molester le postérieur de l’autre et durant lequel chacun trouve émoustillement et plaisir. L’excitation sexuelle se retrouve à différents niveaux :
La soumission et la punition
Elles sont au cœur des jeux BDSM car elles jouent à la fois sur le rapport de domination et sur la pratique sadomasochiste. La fessée est l’exemple parfait à la fois dans le rapport de soumission indéniable du fessé, mais également parce qu’elle représente la punition par excellence !
Le scénario
En cherchant à justifier cette réprimande, le couple élabore des histoires qui expliquent cette fessée. La servante qui n’a pas bien servi, l’étudiant qui n’a pas bien appris…
Le contact physique
Les fesses étant une zone érogène de premier choix, celui qui reçoit la punition savoure ces caresses appuyées tandis que le partenaire qui inflige la correction entre en contact direct avec cette tendre zone sexuelle. De plus, dans la position classique de la fessée qui consiste le plus souvent à allonger le corrigé sur le correcteur, il est possible de laisser aller la main qui ne frappe pas vers d’autres contrées anatomiques…
L’ambigüité
Dans l’enfance, la fessée n’a aucun caractère de plaisir et est synonyme de punition désagréable. A l’âge adulte, une main qui entre en contact avec des fesses devient au contraire une forme de plaisir érotique. La fessée adulte joue donc sur l’ambigüité de cette frontière.
Une véritable communauté
Le terme de « spanker » qui signie « fesseur » en anglais est souvent retrouvé pour désigner les personnes qui pratiquent cette discipline. Les anglophones disposent de moult sites internet et livres sur le sujet et il existe plusieurs communautés d’adeptes.
Biographie tres succincte:
Charles ROUSSEL
Meaux 7 oct 1882 - 24 juin 1961 Paris
Peintre et dessinateur français
Fils d'un libraire et élève de Gérôme aux Beaux Arts de Paris. II a exposé au Salon des Humoristes en 1929 et collaboré à diverses revues humoristiques . Il doit également des affiches touristiques, des menus, des programmes, des pochettes de disques ainsi que des couvertures de partitions de musique pour l 'éditeur Salabert. Charles Roussel enseigna le dessin à l'école par correspondance ABC et publia des articles et dessins dans la revue du même nom, notamment « Adieu Montmartre» et «Bars et cafés de Paris», mars 1936. « Roussel est un heureux de ce monde», a écrit son confrère Renefer. « il sait agrémenter son métier parce qu'il sait voir. Il n'y a rien au cours de ses déplacements qui ne retienne son attention, qui ne le provoque à faire quelque croquis alerte, écrit largement et franchement, sans artifice, sans truc, sans cuisine d apres les sujets les plus humbles comme les plus riches dont il dégage immédiatement le caractère, le pittoresque, le style. » (A B C).
Auteur Illust.: « La Guerre en sabots» 95 centimes; « Historique du 13e régiment d'infanterie »
Ne pas confondre avec Charles ROUSSEL (Tourcoing 16 fév. 1861 - 1936), peintre de marines (voir B., E.J., Schurr).
Illust.: Acker, P. « Les Exilés» 1921 / Alanic, Mathilde « Ma cousine Nicole » Flammarion 1913 Paris / Bernard, Tristan « Deux amateurs de femmes» CalmannLévy 1922 P (Nouvelle Collection illustrée n°125) / Bordeaux, Henry «L'Ecran brisé» 1923 P; «Le Fantôme de la rue MichelAnge» Flammarion 1928 P; « La Maison » 1922 P; «La Maison morte» Flammarion 1928 P; « Ménages d'aprèsguerre » Flammarion 1927 P; «Les Yeux qui s'ouvrent» Flammarion 1927 P / Capus, A. «Faux départ» CalmannLévy 1909 (n°38) / Courteline, Georges «Ah! jeunesse!» Flammarion 1926 P (Select Coll. nb253); « Boubou roche » Flammarion 1904 Paris; « Les Linottes » d. 1912 / Daudet, A. « les Femmes d artistes » 1924; « Fromout jeune et Risler aîné» 1921 / Esparbès, G. d'« La Guerre cri sabots» Flammarion 1913 P / Farrêre, Claude « Histoires de très loin et (ou) d'assez près» Lahure, Flammarion 1926 P (Select Coll. N°257); «Une Jeune fille voyagea» Flammarion 1926 P / Gyp « L 'Amoureux (le Li ne » Flammarion 1913 P; « Eux et elle» Flammarion 1928 P(SelectColl. n°278); « Le journal d'un philosophe » Flammarion 1931 P; « Le 13°» Flammarion 1930 P / Hermaut, Abel « L'Autre Aventure d'un joyeux garçon» Calmann Lévy 1921 P (n°117); « Confession d'un enfant d'hier » id. 1909 (n°27); « Confession d'un homme d'aujourd'hui » id 1910; « Les Grands Bourgeois» id. 1908 (n°16) / Lavedan, H. « Lydia» Calmann Lévy 1921 P (n°113) / Mérimée, P. « Colomba » Grund 1948 P / Montiort, E. « Le Chalet dans la montagne « 1922 / Régnier, Henri de « La Flambée» CalmannLévy 19 P; « Le Passé vivant» id. 1911- 1912 (n°61) / Robert, L. «L'Envers d'une courtisane» CalmannLévy 1913 P(n°75)/ Rosir y,J.H. «Le Faux» CalmannLévy 1912 P (n°63) / Thil, Marcel et Brunel, N. «La Course à la gloire» Delagrave 1936 P (coll. Sports et avent. n°3) / Whitmarsh, W. « Parlons français» Longmans, Green 1953 Toronto
Presse: ABC; Fantasio; Lisez moi bleu; Nos Loisirs; Le Rire; Le Sourire
Biblio.: Druart; Mahé; Schurr; Talvart).
Charles ROUSSEL
Meaux 7 oct 1882 - 24 juin 1961 Paris
Peintre et dessinateur français
Fils d'un libraire et élève de Gérôme aux Beaux Arts de Paris. II a exposé au Salon des Humoristes en 1929 et collaboré à diverses revues humoristiques . Il doit également des affiches touristiques, des menus, des programmes, des pochettes de disques ainsi que des couvertures de partitions de musique pour l 'éditeur Salabert. Charles Roussel enseigna le dessin à l'école par correspondance ABC et publia des articles et dessins dans la revue du même nom, notamment « Adieu Montmartre» et «Bars et cafés de Paris», mars 1936. « Roussel est un heureux de ce monde», a écrit son confrère Renefer. « il sait agrémenter son métier parce qu'il sait voir. Il n'y a rien au cours de ses déplacements qui ne retienne son attention, qui ne le provoque à faire quelque croquis alerte, écrit largement et franchement, sans artifice, sans truc, sans cuisine d apres les sujets les plus humbles comme les plus riches dont il dégage immédiatement le caractère, le pittoresque, le style. » (A B C).
Auteur Illust.: « La Guerre en sabots» 95 centimes; « Historique du 13e régiment d'infanterie »
Ne pas confondre avec Charles ROUSSEL (Tourcoing 16 fév. 1861 - 1936), peintre de marines (voir B., E.J., Schurr).
Illust.: Acker, P. « Les Exilés» 1921 / Alanic, Mathilde « Ma cousine Nicole » Flammarion 1913 Paris / Bernard, Tristan « Deux amateurs de femmes» CalmannLévy 1922 P (Nouvelle Collection illustrée n°125) / Bordeaux, Henry «L'Ecran brisé» 1923 P; «Le Fantôme de la rue MichelAnge» Flammarion 1928 P; « La Maison » 1922 P; «La Maison morte» Flammarion 1928 P; « Ménages d'aprèsguerre » Flammarion 1927 P; «Les Yeux qui s'ouvrent» Flammarion 1927 P / Capus, A. «Faux départ» CalmannLévy 1909 (n°38) / Courteline, Georges «Ah! jeunesse!» Flammarion 1926 P (Select Coll. nb253); « Boubou roche » Flammarion 1904 Paris; « Les Linottes » d. 1912 / Daudet, A. « les Femmes d artistes » 1924; « Fromout jeune et Risler aîné» 1921 / Esparbès, G. d'« La Guerre cri sabots» Flammarion 1913 P / Farrêre, Claude « Histoires de très loin et (ou) d'assez près» Lahure, Flammarion 1926 P (Select Coll. N°257); «Une Jeune fille voyagea» Flammarion 1926 P / Gyp « L 'Amoureux (le Li ne » Flammarion 1913 P; « Eux et elle» Flammarion 1928 P(SelectColl. n°278); « Le journal d'un philosophe » Flammarion 1931 P; « Le 13°» Flammarion 1930 P / Hermaut, Abel « L'Autre Aventure d'un joyeux garçon» Calmann Lévy 1921 P (n°117); « Confession d'un enfant d'hier » id. 1909 (n°27); « Confession d'un homme d'aujourd'hui » id 1910; « Les Grands Bourgeois» id. 1908 (n°16) / Lavedan, H. « Lydia» Calmann Lévy 1921 P (n°113) / Mérimée, P. « Colomba » Grund 1948 P / Montiort, E. « Le Chalet dans la montagne « 1922 / Régnier, Henri de « La Flambée» CalmannLévy 19 P; « Le Passé vivant» id. 1911- 1912 (n°61) / Robert, L. «L'Envers d'une courtisane» CalmannLévy 1913 P(n°75)/ Rosir y,J.H. «Le Faux» CalmannLévy 1912 P (n°63) / Thil, Marcel et Brunel, N. «La Course à la gloire» Delagrave 1936 P (coll. Sports et avent. n°3) / Whitmarsh, W. « Parlons français» Longmans, Green 1953 Toronto
Presse: ABC; Fantasio; Lisez moi bleu; Nos Loisirs; Le Rire; Le Sourire
Biblio.: Druart; Mahé; Schurr; Talvart).