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Lucien clergue
N°2539


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Lucien clergue
N°2539

Lucien Clergue
Helio photographie originale representant:

« Femme nue debout en contrejour du sable recouvert de l ecume du ressac
et scintillement du soleil sur l eau.»
Helio photographie originale vintage
Tres belle epreuve tres fraiche.
Contresignee de la main de l artiste.
Format de l epreuve support toutes marges 34 / 25,5 cm
Editee en 1970 - 73 sous le controle de l artiste
Numerotee 3 / 20 exemplaires
Il semble que ce fut a l origine presente sous forme d un petit portfolio
Tres bon etat de conservation.
Volante non montee

Ne le 14 aout 1934 - 15 novembre 2014.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Lucien_Clergue
Tres beau cliche d effet de lumiere et rayons du soleil couchant sur la mer,
effet de sable mouille, corps de femme nue, algues, ecume et du ressac des vagues.
Cliche utilise pour l ouvrage: Genese.
Parution autour de 1973 chez Belfond
Les cliches sont d une date anterieure.
Prise de vue courant 1964 - 65
https://fr.wikipedia.org/wiki/Lucien_Clergue
Tres beau cliche d effet de lumiere et rayons du soleil couchant sur la mer,
effet de sable mouille, corps de femme nue, algues, ecume et du ressac des vagues.
Cliche utilise pour l ouvrage: Genese.
Parution autour de 1973 chez Belfond
Les cliches sont d une date anterieure.
Prise de vue courant 1964 - 65

« Femme nue debout en contrejour du sable recouvert de l ecume du ressac
et scintillement du soleil sur l eau.»
Helio photographie originale vintage
Tres belle epreuve tres fraiche.
Contresignee de la main de l artiste.
Format de l epreuve support toutes marges 34 / 25,5 cm
Editee en 1970 - 73 sous le controle de l artiste
Numerotee 3 / 20 exemplaires
Il semble que ce fut a l origine presente sous forme d un petit portfolio
Tres bon etat de conservation.
Volante non montee

Extraits biographiques:
Lucien Clergue, né le 14 août 1934 à Arles (France) et mort le 15 novembre 2014 à Nîmes (France) est un photographe français. Il est le premier photographe à être élu membre de l'Académie des beaux-arts de l'Institut de France. Il en fut le Président pour l'année 2013.
Dès l'âge de 7 ans, Lucien Clergue apprend à jouer du violon sous l'impulsion de sa mère, Jeanne Grangeon. Quelques années plus tard, son professeur n'est plus en mesure de l'aider à progresser. Issu d'une famille modeste, faute de moyen il ne pourra pas poursuivre ses études au conservatoire de Marseille, ni à celui de Nîmes.
En 1950, pour Noël, il reçoit un appareil photo jouet, Il apprend dès l'année suivante les rudiments de la photographie. À partir de 1953, après la mort de sa mère (30 décembre 1952), il consacre tout son temps libre à la photographie, très influencé dans un premier temps par le surréalisme et par les portraits de Thérèse Le Prat. Le 27 septembre 1953, lors d'une corrida aux arènes de Nîmes, il force le destin en mettant ses photographies sous le nez de Pablo Picasso. Celui-ci est intéressé et à la question posée : "Est-ce que cela vous plait", il répond : "vous savez bien que cela me plait". Pendant deux ans, le jeune Clergue travaille dans le but d'envoyer un travail construit à Picasso et de le surprendre. C'est durant cette période qu'il crée la série intitulée «La grande récréation» représentant des saltimbanques dans les ruines d'Arles, auxquels succèdent les "charognes". Le 4 novembre 1955, pour la première fois, Lucien Clergue se rend chez Picasso, à Cannes, pour récupérer les albums envoyés à Picasso. Il est reçu à bras ouverts, Pablo Picasso lui disant : "On me dit que le plus grand photographe c'est Cartier-Bresson, moi je dit que c'est vous". Leur amitié durera près de vingt ans, jusqu'à la mort du Maître en 1973. Le livre Picasso mon ami (Éditions Plume) retrace les moments importants de leur relation.
Grâce à Pablo Picasso, il rencontre le collectionneur et critique d'art Douglas Cooper et Jean Cocteau. Les deux hommes font découvrir les photographies de Clergue à des critiques d'art et à des conservateurs suisses et allemands qui sont les premiers à lui consacrer de véritables expositions.
Dès 1968, il fonde avec son ami Jean-Maurice Rouquette, conservateur des Musées d'Arles et l'écrivain Michel Tournier les premiers éléments des Rencontres Internationales de la Photographie qui deviendront les Rencontres d'Arles et se tiennent chaque année à Arles au mois de juillet. Il invite à Arles les photographes les plus célèbres des États-Unis (Ansel Adams, André Kertesz, Robert Mapplethorpe…), du Japon (Eikoh Hosoe)… Ils donneront les premiers « atelier de photo » à Arles. Lucien Clergue, souhaitant que ses photographies soient reconnues en tant qu’œuvres d'art, a sans cesse milité pour la reconnaissance de la photographie comme un art en tant que discipline artistique à part entière au même titre que la peinture, la gravure ou la sculpture. Il y parviendra à ce qu'elle figure en tant que telle au sein du Ministère de la Culture, puis en contribuant à la création de l'École Nationale Supérieure de la Photographie à Arles en 1982.
Lucien Clergue est le premier autodidacte en France à être reçu Docteur Es-Lettres avec option "Photographie" à l’Université de Provence, Marseille, en 1979. Sa thèse publiée sous le titre Langage des sables ne comporte aucun mot, seulement des images, c'est l'écriture avec la lumière. Un commentaire de Roland Barthes, membre du jury de thèse, fait office d'antithèse faute d'avoir pu rédiger une véritable préface avant son décès.
Il a régulièrement été l'invité des plus grandes universités étrangères telles que Harvard et a donné de nombreuses conférences à l’étranger.
La ville d'Arles lui a consacré en 2007 une très importante rétrospective à travers 360 photographies datées de 1953 à 2007. Son travail a été exposé lors des Rencontres d'Arles de 1971 à 1973, en 1975, 1979, de 1982 à 1986, en 1989, 1991, 1993, 1994, 2000, 2003 et 2007 et en 2014 pour ses 80 ans .
2014 - Il disparaît le 15 Novembre à Nîmes.
La transaction porte sur la propriete du support (ici l epreuve sur papier) mais ne concerne en aucune facon le droit a l image, de publication ou d exploitation. Donc pour toute utilisation il est imperatif de ce conformer aux usages, c est a dire, de se rapprocher des ayant droits du photographe ou de l agence qui gere ses droits. (Ceci vaut pour l oeuvre de tout artiste ou photographe pendant les 70 ans qui suivent sa disparition, apres quoi il est consideré que son oeuvre tombe dans le domaine public.)
Lucien Clergue, né le 14 août 1934 à Arles (France) et mort le 15 novembre 2014 à Nîmes (France) est un photographe français. Il est le premier photographe à être élu membre de l'Académie des beaux-arts de l'Institut de France. Il en fut le Président pour l'année 2013.
Dès l'âge de 7 ans, Lucien Clergue apprend à jouer du violon sous l'impulsion de sa mère, Jeanne Grangeon. Quelques années plus tard, son professeur n'est plus en mesure de l'aider à progresser. Issu d'une famille modeste, faute de moyen il ne pourra pas poursuivre ses études au conservatoire de Marseille, ni à celui de Nîmes.
En 1950, pour Noël, il reçoit un appareil photo jouet, Il apprend dès l'année suivante les rudiments de la photographie. À partir de 1953, après la mort de sa mère (30 décembre 1952), il consacre tout son temps libre à la photographie, très influencé dans un premier temps par le surréalisme et par les portraits de Thérèse Le Prat. Le 27 septembre 1953, lors d'une corrida aux arènes de Nîmes, il force le destin en mettant ses photographies sous le nez de Pablo Picasso. Celui-ci est intéressé et à la question posée : "Est-ce que cela vous plait", il répond : "vous savez bien que cela me plait". Pendant deux ans, le jeune Clergue travaille dans le but d'envoyer un travail construit à Picasso et de le surprendre. C'est durant cette période qu'il crée la série intitulée «La grande récréation» représentant des saltimbanques dans les ruines d'Arles, auxquels succèdent les "charognes". Le 4 novembre 1955, pour la première fois, Lucien Clergue se rend chez Picasso, à Cannes, pour récupérer les albums envoyés à Picasso. Il est reçu à bras ouverts, Pablo Picasso lui disant : "On me dit que le plus grand photographe c'est Cartier-Bresson, moi je dit que c'est vous". Leur amitié durera près de vingt ans, jusqu'à la mort du Maître en 1973. Le livre Picasso mon ami (Éditions Plume) retrace les moments importants de leur relation.
Grâce à Pablo Picasso, il rencontre le collectionneur et critique d'art Douglas Cooper et Jean Cocteau. Les deux hommes font découvrir les photographies de Clergue à des critiques d'art et à des conservateurs suisses et allemands qui sont les premiers à lui consacrer de véritables expositions.
Dès 1968, il fonde avec son ami Jean-Maurice Rouquette, conservateur des Musées d'Arles et l'écrivain Michel Tournier les premiers éléments des Rencontres Internationales de la Photographie qui deviendront les Rencontres d'Arles et se tiennent chaque année à Arles au mois de juillet. Il invite à Arles les photographes les plus célèbres des États-Unis (Ansel Adams, André Kertesz, Robert Mapplethorpe…), du Japon (Eikoh Hosoe)… Ils donneront les premiers « atelier de photo » à Arles. Lucien Clergue, souhaitant que ses photographies soient reconnues en tant qu’œuvres d'art, a sans cesse milité pour la reconnaissance de la photographie comme un art en tant que discipline artistique à part entière au même titre que la peinture, la gravure ou la sculpture. Il y parviendra à ce qu'elle figure en tant que telle au sein du Ministère de la Culture, puis en contribuant à la création de l'École Nationale Supérieure de la Photographie à Arles en 1982.
Lucien Clergue est le premier autodidacte en France à être reçu Docteur Es-Lettres avec option "Photographie" à l’Université de Provence, Marseille, en 1979. Sa thèse publiée sous le titre Langage des sables ne comporte aucun mot, seulement des images, c'est l'écriture avec la lumière. Un commentaire de Roland Barthes, membre du jury de thèse, fait office d'antithèse faute d'avoir pu rédiger une véritable préface avant son décès.
Il a régulièrement été l'invité des plus grandes universités étrangères telles que Harvard et a donné de nombreuses conférences à l’étranger.
La ville d'Arles lui a consacré en 2007 une très importante rétrospective à travers 360 photographies datées de 1953 à 2007. Son travail a été exposé lors des Rencontres d'Arles de 1971 à 1973, en 1975, 1979, de 1982 à 1986, en 1989, 1991, 1993, 1994, 2000, 2003 et 2007 et en 2014 pour ses 80 ans .
2014 - Il disparaît le 15 Novembre à Nîmes.
Mise en garde sur l usage des cliches XXe:
La jurisprudence actuelle considere que ce type d epreuve, lors d une transaction d un proprietaire a un autre, est accompagnee d une paisible jouissance. Ce qui doit etre interprete comme:La transaction porte sur la propriete du support (ici l epreuve sur papier) mais ne concerne en aucune facon le droit a l image, de publication ou d exploitation. Donc pour toute utilisation il est imperatif de ce conformer aux usages, c est a dire, de se rapprocher des ayant droits du photographe ou de l agence qui gere ses droits. (Ceci vaut pour l oeuvre de tout artiste ou photographe pendant les 70 ans qui suivent sa disparition, apres quoi il est consideré que son oeuvre tombe dans le domaine public.)
Dans le cas present s adresser a:
Anne Clergue
12 Plan de la Cour, 13200 Arles
Anne Clergue
12 Plan de la Cour, 13200 Arles